AUTEUR : Ma-chan, mais dans sa jeunesse cette fois-ci.

GENRE : Romance dans son plus haut niveau de glucosité. Et si ça se dit pareil, tant pis, je crois que tout le monde m’a compris… (Oh, des rimes !)

WARNING : Hum. Shonen-ai, peut-être shojo-ai, vieille fic. Les chapitres sont relativement courts, aussi. Ah, et SPOILERS pour la fin de FFVIII !

COUPLES : Partons sur du Squall&Seifer, les amis.

NOTES : C’est une fic que j’ai ressorti du placard… Elle est convenue, sans plus. Mais à la relire comme ça, elle me plaisait encore assez bien, alors je la tape et la corrige un peu, et la voilà sur le net ! Disons que c’est la première d’une longue série d’inachevées qui traînent, et que je voudrais finir. Bon, il y avait une explication pour le titre (le the entre parenthèses), mais je l’ai oubliée… Sinon, je dois être une des rares personnes dans ce cas, mais j’aime bien Linoa. Par contre, je DETESTE Quistis. Tout comme dans FFVII j’aime bien Aéris et je hais Tiffa.

Bonne lecture !

(The) Shame on you

By Ma-chan

Squall se pencha vers la jeune femme vêtue de bleu frémissant dans ses bras… Leurs lèvres se frôlèrent… Et une image vint s’imposer à son esprit. Celle d’un jeune homme blond avec un sourire moqueur au coin des lèvres… Seifer !

Squall stoppa tout mouvement, les yeux écarquillés. Linoa le regarda dans les yeux, se demandant ce qui pouvait bien gêner son compagnon. Elle leva sa main jusqu’au visage du jeune homme, carressa doucement sa joue froide…

_ « Squall… »

Sa main repoussait une mèche brune devant les yeux de son aimé.

_ « Qu’est-ce qui ne va pas ? »

Squall se redressa et secoua la tête, tentant vainement de remettre de l’ordre dans ses pensées.

_ « Je… » commença-t-il, puis il s’interrompit, incapable de formuler les pensées incohérentes qui lui traversaient la tête.

Linoa lui sourit tendrement, dissimulant soigneusement ses larmes… Elle le savait, elle savait que ça devait arriver…

_ « Squall… Ne dis rien si tu n’as pas envie de le dire. »

…Perdre Squall… Un jour.

_ « Je crois que… » elle empêchait difficilement sa voix de trembler. Ca y est, elle était en train de le perdre.

« Je crois que… Je… Nous… »

Elle inspira profondément.

_ « Ca ne marchera jamais entre nous. Tu aimes –tu aimeras- quelqu’un d’autre. »

_ « Mais, Linoa ! »

Je l’enverrai vers toi, Seifer.

_ « Nous sommes et nous resteront toujours les meilleurs amis, hein, Squall ? »

_ « Linoa… »

_ « Oui ? »

_ « … Je suis désolé. »

_ « Amis ? »

_ « Amis. » (1)

Linoa réussit à sourire. Elle l’embrassa sur la joue, et se mit à rire lorsque les joues de l’ex-glaçon rosirent légèrement.

Elle fit volte-face, et s’enfuit jusqu’à sa chambre, où elle put enfin relâcher toutes ses larmes.

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Dans le petit voilier qu’il avait acheté et partageait avec Fujin et Raijin, Seifer rata son poisson pour la troisième fois de la soirée. Il se sentait mal à l’aise ce soir-là. Peut-être parce que Squall Leonhart, l’iceberg le plus froid de la banquise, se voyait couvert d’honneurs à sa place, lui qui aurait dû être le dirigeant de la planète entière ! Ou peut-être parce qu’il allait sûrement demander Linoa en mariage ce soir-là. Sa petite amie, bon sang ! Enfin, son ex… Ce, n’était pas que Seifer la regrettait vraiment ; leur relation n’aurait certainement pas duré de toute façon. Non, c’était le fait que Squall la lui avait volée… Ou peut-être parce qu’elle lui avait volé Leonhart ? Non, ça n’avait aucun sens ! Peut lui importait si son rival s’était trouvé d’autres occupations. Après tout, lui n’avait plus rien à voir avec ce lâche/sauveur de l’humanité !

… Mais… Le reverrait-il seulement ?

Seifer fronça les sourcils à cette pensé. C’est vrai, maintenant Leonhart avait autre chose à faire qu’à défier son rival de toujours. Une BGU à gérer, par exemple. Reviendrait-il jamais à la BGU ? Fort peu probable. Plus personne ne voudrait de lui là-bas.

Le blond leva les yeux au ciel, et, apercevant les étoiles, décida qu’il était temps d’aller se coucher. Il espéra que les rêves qu’il faisait depuis la mort d’Ultimécia ne le réveilleraient pas une fois encore… Rêves dont il ne se rappelait jamais, d’ailleurs.

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Dans l’orphelinat qu’elle partageait désormais avec son époux, Cid ayant confié la BGU à Squall, lui reléguant presque tous les pouvoirs et de ce fait tout le travail, Edea ferma les yeux. Bientôt… Bientôt tu sauras tout.

NOTES :

(1) : En écrivant ça, je devais m’imaginer Squall et Linoa vêtus de peaux de bêtes et se tapant sur le poing en disant ‘amis ? –amis.’ d’un air bête…

Voilà, c’est une de mes toutes premières fanfic. Voir même la première, je ne sais plus exactement… Tous les commentaires sont les bienvenus !

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