Disclaimer : eh non, les personnages ne sont pas à moi^^ sauf bien sûr les Nephtisis et leur histoire.

Commentaire : Bon, ben, encore et toujours merci à Yumen-chan(XD). En effet, c’est elle qui a trouvé la phrase rituelle d’Anubis, toute en rime et tout^^

 

Les évènements relatés dans ce chapitre se déroulent à Fondcombe. On ne voit ces passages que dans le livre. En effet, Elrond envoie des éclaireurs pour décider de la route à prendre pour la communauté. Donc, peu après la  réunion...

 

 

Au-delà de notre histoire…

Chapitre 2 : Premières rencontre...

 

By Vestalie

 

 

Devant les grandes portes de Fondcombe, les Nephtisis faisaient leurs adieux à la cité elfique. La reine, avec son éternel maquillage de cérémonie, portait une ample tunique rouge sans manche par-dessus une chemise noire, et un pantalon de voyage de la même couleur.

Elle serra une jeune femme dans ses bras. Elle la regarda, puis s’éloigna vers le reste de son escorte pour monter sur un cheval à la robe brune.

Le dernier Nephtisis encore à terre était Anubis. Sous le regard bienveillant d’Elrond, il s’approcha de la jeune femme. Il semblait gêné, comme s’il ne savait pas comment agir avec cette Nephtisis qui choisissait une voie bien trop dure à son goût.

-Sabé, commença-t-il, vous... Je...

Elle sourit et le prit dans ses bras, à la grande surprise du soldat.

-Allons Anubis, rit-elle, ne vous inquiétez pas comme cela. Je vous jure de faire honneur à la nation de Corus.

-Ce n’est pas une question d’honneur petite sotte, répliqua-t-il avec douceur en prenant le visage de la dame de compagnie dans ses mains. Il s’agit de votre propre sécurité. J’aurais pu rejoindre cette compagnie, et vous évitez ce danger.

Elle s’écarta de lui avec tristesse.

-Le temps où nous fuyions est révolue Anubis. La malédiction me touche personnellement, je dois y remédiez.

Anubis reprit son habituelle impassibilité, porta deux doigts à son front, puis à ses lèvres, et frappa son poing contre sa poitrine.

- Par le métal de ma lame,

Par mon sang qui s'enfuit,

Par la force de mon âme

Et pour la mort de l'ennemi,

Je vous appartient tout entier

Et mon coeur vous accompagne à jamais.

Il s’inclina une dernière fois, puis fit volte face pour rejoindre sa monture et partir      avec le reste de la délégation.

Sabé les regarda partir, les yeux brillant de larmes qu’elle refusait de laisser couler. Elle ferma ses paupières et joignit ses mains sur son cœur. Elle resta ainsi quelques minutes, le vent faisant virevolter ses boucles brunes. Elle sentit alors une main se poser avec bienveillance sur son épaule. Quand elle se retourna, elle vit Gandalf qui lui souriait.

-Pourquoi ? demanda-t-elle, pourquoi cette phrase normalement rituelle ressemblait tant  un adieu ?

Le vieux magicien lui sourit.

-Parce que pour la première fois de son existence, je crois qu’Anubis à peur. Il a peur pour vous, et se savoir inutile dans les moments où vous aurez besoin d’aide le panique encore plus.

La jeune femme soupira avec résignation, puis se tourna vers Elrond et Légolas, les deux seules autres personnes présentes à cette heure tardive de la journée. En effet, la reine avait tenue à partir dés la fin du conseil, pour des raisons nébuleuses.

-Seigneur Elrond, je comprends que vous soyez obligé de confier ma surveillance à quelqu’un, mais...

« Pourquoi cet abruti ? Finit-elle mentalement. »

Elrond parla de son habituelle voix calme et posée, fixant tout à tour Sabé, qui lui lançait des regards suppliants, et Légolas, qui se tenait droit, les mains derrière  le dos, en regardant Sabé avec un mépris à peine dissimulé.

-Je ne vois pas de meilleurs choix. Et puis, vous allez tout deux faire parti de la communauté de l’anneau, vous devez commencer dés maintenant à vous connaître.

L’elfe sourit mystérieusement, puis partit, suivi par Gandalf. Légolas n’avait pas changé, ni de position, ni d’expression.

Sabé prit une profonde respiration, lissa son vêtement, et regarda l’elfe dans les yeux. Elle était habillée très simplement en comparaison de sa reine ; Elle portait une longue robe très cintrée avec un haut col, en soie noire. Les boutons qui fermaient cette tunique étaient très stylisés, avec des motifs dorés gravés dessus.

-Bon, commença-t-elle avec calme, je crois qu’il n’est pas besoin de se présenter.

Voyant qu’aucune réponse ne daignait franchir les lèvres du blond, elle continua sur sa lancée.

-Et bien... Il est tard, alors je vais rejoindre mes appartements.

Légolas la vit lui adresser un sourire crispé. Même s’il connaissait ses origines, il ne put s’empêcher de trouver cette suivante très belle. Elle avait des cheveux bruns légèrement bouclés, qu’elle avait lâchés et qui atteignaient le bas de son dos. Les traits de son visage étaient très fins, faisant presque penser qu’elle était une elfe, et on distinguait de l’ingéniosité et de l’impétuosité dans ses yeux bleus gris en amande.

Il resta silencieux tout le temps du trajet qui les mena aux appartements de la Nephtisis. Une fois arrivée devant la porte de ces derniers, ils s’arrêtèrent, Sabé particulièrement gênée. Elle ne savait pas comment agir avec ce guerrier, qui après seulement quelques minutes, commençait déjà à l’énerver.

-Bon, euh, bégaya-t-elle, nos route se séparent ici... A demain ?

Légolas s’inclina légèrement et s’en alla, le visage fermé. La surprise passée, Sabé afficha une expression d’intense colère. Elle entra dans sa chambre, claquant violemment la porte derrière elle.

Cette quête commençait mal... Vraiment mal.

 

OoOoO

 

Cela faisait maintenant trois jours que Légolas suivait Sabé comme son ombre. Mais il ne disait pas un mot, restait muet comme une tombe. Alors qu’il passait sur un pont en bois surplombant un petit ruisseau, elle se retourna brusquement, frappant du plat de la main la rambarde.

-J’en ai assez ! La dernière fois que j’ai entendu votre voix, c’était quand vous avez manqué de respect à ma reine. Je trouve cette situation humiliante, je ne mérite pas ça. Je ne suis pas digne que vous me parliez c’est ça ? Je n’accepterais pas cet affront plus longtemps !

Sa respiration était saccadée, et une mèche rebelle tombait devant ses yeux. Ce jour là, elle portait un corset en satin orangé, et une légère robe à manche longue révélant ses mains fines et délicates. Sur la peau de son décolleté, l’éclat d’une chaîne argentée brillait au soleil. Son pendentif représentait la lune et le soleil, et le centre de ce dernier était constitué d’une topaze. Ses longs cheveux bruns étaient coiffés en un chignon bas, retenu par un filet doré. 

Légolas resta pourtant insensible à cette beauté farouche, et se contenta de la regarder dans les yeux. Ce qu’elle avait dit n’était pas tellement faux. Pour lui, elle était une créature foncièrement mauvaise, et il ne voyait pas pourquoi il devait lui témoigner un intérêt autre que celui de la surveiller.

Lisant ce raisonnement dans les yeux de l’elfe, Sabé sentit la colère en elle augmenter, et elle faisait tout pour se contenir. Quand elle reprit la parole, sa voix tremblait de rage.

-Mon peuple n’est pas plus corrompu que celui des hommes, ou bien des elfes. Nous sommes en paix les uns avec les autres. Même si j’avoue, non sans honte, que pendant plusieurs siècles, les différentes nations de Corus se sont entretuées, désormais nous vivons en harmonies. Nos villes n’ont rien à envier à Fondcombe, et nos prairies sont aussi verdoyantes et paisible que celles de la Comté.  Sur ce, finit-elle en lui tournant le dos, nos routes se séparent ici seigneur elfe.

Au bout du pont, elle aperçut Boromir qui faisait signe à Légolas qu’il allait s’occuper d’elle. Chose que Sabé n’apprécia guère : elle n’était pas un vulgaire sac de marchandise que l’on refourguait à quelqu’un d’autre quand il devenait trop encombrant. Elle passa devant l’homme sans s’arrêter mais en lui crachant quelques mots.

-Depuis quand les princes humains écoutent-ils les conversation d’autrui, seigneur Boromir ?

Il ne releva pas la provocation, et se contenta de la suivre quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle en ait assez et se retourna, toujours sous l’emprise de la colère.

-Ecoutez, je comprends que vous ne vouliez pas que je fasse de sottises à cause de mon énervement. Il est vrai que je meure d’envie de vous voler votre épée, et d’aller décapiter mon charmant garde du corps, mais je vous assure que je sais me contrôler. Alors partez s’il vous plaît.

Boromir se contenta de sourire avec amusement en posant sa main sur le pommeau de son arme.

-Je ne sous estime pas vos capacité jeune fille, mais je doute que vous puissiez vous emparez de cette lame.   

Elle soupira et se retourna pour partir.

-J’apprécie vos efforts, mas ne vous forcez pas à vous montrer sympathique avec moi. Je déteste le mensonge.

Il la retint en lui agrippant le bras, et la força à le regarder dans les yeux.

-Vous n’aimez pas le mensonge ? Comme c’est ironique pour la fieffée menteuse que vous êtes. Arrêtez de vouloir avancer seule dans votre quête. Vous allez avoir besoin d’un allié et d’un confident.

Il y eut un long silence, où Sabé ne sut que dire. Son trouble et son étonnement transparaissaient dans ses grands yeux bleus. Enfin, elle consentit à prendre la parole.

-Et vous vous proposez, c’est cela, fit-elle avec une pointe d’ironie.

Boromir la relâcha et la fixa longuement avant de répondre d’une voix calme et posée.

-C’est à vous de voir. Je vous propose de l’aide. Saisissez votre chance, elle risque de ne plus se présenter. Mais ne vous inquiétez pas, quoi qu’il arrive, je ne dévoilerais pas votre secret.

Sabé se mit en route la tête haute, et passa devant Boromir sans s’arrêter pour rejoindre ses appartements. Elle lui souffla tout de même au passage, arrachant un sourire à Boromir :

-Je me demande comment vous avez fait pour le deviner mais... merci.

 

OoOoO

 

Après « l’incident » du pont, Sabé demanda au seigneur Elrond de retirer sa surveillance à Légolas pour la confier à Boromir. Cette demande en surpris plus d’un, mais personne ne s’y opposa. Désormais, quand on voyait la Nephtisis, elle était toujours avec Boromir, et ils plaisantaient ensemble.

Un jour, Sabé eut envie de voir la grande bibliothèque de Fondcombe. En poussant les lourdes portes de bois, elle se laissa envahir par l’odeur âcre des vieux livres, et ne put retenir une exclamation de surprise quand elle vit les quatre hobbits réunis autour d’une table vernie, des parchemins et des ouvrages volumineux encombrant l’espace. Ils tournèrent la tête vers les nouveaux venus, leurs réactions surprenant la suivante. Un sourire jovial éclaira le visage de Merry et Pipin  alors qu’ils tiraient une chaise pour permettre à Sabé de s’asseoir, faisant tomber au passage des livres et des feuillets jaunis par le temps, tandis que Sam se reculait en une crainte respectueuse et que Frodon semblait indifférent à la nature de la nouvelle venue.

-Calmez-vous, calmez vous hobbits, fit Boromir à l’adresse de Pipin et Merry alors que Sabé riait de bon cœur de ces étranges manières. Je suis sûr que cet accueil touche Sabé, mais tout de même.

-Pardon, nous sommes désolés, bégaya Pipin, ne se départageant pas de son sourire pressé. Mais nous brûlions d’envie de la voir !

-Oui, continua Merry, Nous voulons que vous nous racontiez tout sur les mœurs de votre peuple !

-On a eu beau cherché dans des livres, rien ! C’est rageant !

Les deux amis croisèrent les bras en faisant un signe affirmatif de la tête, arrachant un nouvel éclat de rire à la jeune femme.

-Il fallait me faire demander !

-Ou...Oui, mais, on n’osait pas m’dame, hésita Sam.

Sabé lui faisait peur, et même s’il savait cela stupide, il ne pouvait se départager de toutes ses superstitions, et de toutes les histoires que les anciens lui racontaient sur ce peuple. Sabé fut légèrement peinée de voir tant de frayeur dans les yeux du jardinier, mais elle l’oublia vite, tant elle était pressé de question par Merry et Pipin, sous le regard amusé de Frodon et Boromir. Et c’est ainsi, que durant toute une après-midi, et pendant les suivantes aussi, Sabé et son garde du corps passèrent leurs temps à la bibliothèque, la jeune femme satisfaisant la curiosité insatiable des deux hobbits. Frodon ayant beaucoup à faire avec Bilbon ne venait pas souvent, et Sam avait vite arrêté de se rendre à ces rendez-vous culturels, sa peur ne voulant pas s’estomper.

-Mais, il y a une chose qui m’intrigue, fit Pipin pensivement. Le maquillage de votre reine. C’est vraiment très étrange.

-Oui, poursuivit son ami, on ne la reconnaîtrait même pas sans. Pourquoi être ainsi maquillé ?

Sabé sourit devant leur air intrigué. Merry prenait des notes, et Pipin était assis en tailleur sur la table, débraillé, mais toujours attentif.

-Eh bien, expliqua-t-elle, c’est un des symboles les plus forts de notre peuple. Nul n’a jamais vu son véritable visage. Le blanc dans notre culture est le symbole de la puissance et du pouvoir absolu. La larme noire est pour le deuil, à jamais présent dans nos cœurs, de notre première reine, Nout.

-Mais, il y une chose que je ne comprends pas, interrogea Merry, se redressant de son parchemin et en mordillant le bout de sa plume.

D’un hochement de la tête la jeune Nephtisis l’invita à poursuivre.

-Vous dites que personne ne l’a jamais vu sans maquillage. Même pas dans son enfance ?

Le visage de Sabé s’assombrit quelques secondes, et quand elle fournit son explication, sa voix avait perdu son ton enjoué et rieur.

-Sekhmet est l’enfant de l’amour de Nout et Anubis. N’oubliez pas que nous disposons de la même immortalité que les elfes, ajouta-t-elle devant les mines étonnées de ses vis-à-vis. Elle passa son enfance cloîtrée, sous la garde de son père, le peuple la vénérant sans même la connaître. Pour eux, elle était le symbole de leur liberté nouvellement acquise, de leur indépendance. Le jour de ses dix-neuf ans ans, date à laquelle elle parut devant les Nephtisis, est resté historique. Malheureusement, cela n’a pas suffit à rallier tout le monde, et de nombreux clans sont apparus. Les guerres sanglantes ne s’arrêtèrent qu’après des millénaires de combats. Mais même dans leur soif de sang, tous étaient habités par le même amour de la reine.

Après ces explications, Sabé s’excusa et se retira, à cause de sa grande fatigue, laissant des hobbits encore avide de savoir, mais qui devraient attendre le lendemain.

 

OoOoO

 

Nos amis avaient séjourné prés de deux mois dans la maison d’Elrond : novembre était passé avec les derniers lambeaux de l’automne et décembre touchait à sa fin, quand les éclaireurs commencèrent à revenir.

Sabé les regardait revenir, assise sur le rebord de la fenêtre de sa chambre quand on frappa à sa porte. Après y avoir été autorisé par la jeune femme, Boromir entra, mais stoppa net, subjugué par cette beauté quasi surnaturel. Les rayons du soleil couchant s’infiltraient dans la chambre, ravivant les différents reflets de la longue chevelure châtain de sa protégée. Ce jour-là elle portait des boucles d’oreilles en or en forme de losange, à moitié cachées par une multitude de tresses, et une robe bleue marine cintrée à la taille, et ample au niveau des jambes qu’elle avait replié vers elle, ses bras autour de ses genoux. L’homme fut surpris de l’air mélancolique qu’elle affichait, lui qui avait pris l’habitude de toujours la voir sourire.

Elle sembla enfin se rendre compte de la présence de son ami, et tourna vers lui des yeux pleins de doute.

-La quête va bientôt commencer. Nous serons donc dix.

-Effectivement. Et parmi eux le seigneur Légolas.

Sabé se leva en reniflant de mépris.

-Je doute qu’il se soucie réellement de ma présence. Que je sois là ou non, il agit de la même manière.

-Oui, mais pensez que les hobbits vous apprécie.

-Je terrorise le jardinier, rétorqua-t-elle en enfilant un grand manteau pourpre.

-Gandalf n’a apparemment rien contre vous, poursuivit-il sans tenir compte de l’interruption.

-C’est normal c’est un des rares étrangers à être jamais venu sur Corus. Il connaît notre culture mieux que personne.

-Et vous m’avez, moi, votre ami. Vous n’avez pas à vous inquiéter pour votre intégration dans la communauté.

Sabé, la main sur la lourde porte de bois se retourna brusquement vers Boromir, son étonnement et sa gêne non dissimulé.

-M... Mais, bégaya-t-elle, qui vous dit que je m’inquiétais pour ça ?

Boromir haussa les épaules en souriant d’un air désabusé, provoquant un grognement d’exaspération chez la dame de compagnie.

-Mais c’est pas croyable, ronchonna-t-elle en ouvrant la porte. Tout ce que je pense est écrit sur mon visage ? Vous devinez tout, c’en devient exaspérant !

-Que voulez vous, fit-il en lui faisant signe de passer devant lui pour aller accueillir les éclaireurs, vous ne pouvez rien me cacher.

Elle sortit sans l’attendre, faisant virevolter ses longues nattes.

-Je vous déteste !

Un éclat de rire répondit à cette remarque sortit du fond de son cœur.

 

OoOoO

 

Quelques jours après le retour des éclaireurs qui n’avaient trouvé aucune trace de la présence des serviteurs de Sauron,  Les dix membres de la communauté se retrouvèrent pour le départ devant les grandes portes de la cité des elfes. Sabé regardait les tours blanches s’élever parmi les arbres avec un sourire mélancolique. Elle était certainement la première de son peuple à avoir passé tant de temps en compagnie d’elfe, et à avoir vécu avec eux, dans leur demeure.

Les dix compagnons étaient tous vêtu simplement, mais chaudement en vue de l’hiver, et ne transportaient rien de superflu. Le plus important était porté par le poney de Sam. Sabé avait coiffé son unique tresse en un chignon bas serré, et était vêtu d’une tunique à haut col rouge bordeaux, par-dessus un pantalon de la même couleur qui rentrait dans de grandes bottes en cuir noir qui remontaient jusqu’à ses cuisses. Elle avait des mitaines ébène et les fourreaux de ses deux épées, de la même couleur, étaient disposés de chaque côté de sa taille.

Elrond leur fit ses adieux, les encourageant de tout son cœur pour la réussite de leur quête. De nombreux autres membres de la maisonnée d’Elrond, qui se tenaient dans les ombres, les regardèrent partir et leur dire adieu d’une voix douce. Enfin, il s’en furent et disparurent silencieusement dans l’obscurité.

 

A suivre...

 

 

Ok, ce chapitre est légèrement inutile et pauvre en action, mais il permet de faire mieux connaissance avec Sabé^^ promis, au prochain, un peu plus de mouvement.

 

 

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